Le samedi 17 février dernier, l’équipe de la rédaction LIANEMEDIA s’est entretenue avec la direction générale de l’organisation non gouvernementale « Un monde sans violence » pour parler du mode de fonctionnement de la structure.
Née en octobre 2022, l’organisation non gouvernementale dénommée « UN MONDE SANS VIOLENCE » est perçue dans le pays comme un véritable outil de sensibilisation dont la véritable ligue éditoriale est la non-violence.
Avant qu’elle ne soit établie comme un appareil social de sensibilisation à la non-violence, plusieurs modèles de motivation ont été émis. Notamment, la question du respect des droits fondamentaux, la gestion des crises intercommunautaires, la misère sociale et économique. C’est ainsi que M. Gueu Sylvanus et ses collaborateurs ont décidé, dans une idée commune, de créer cette organisation dans le but d’aider des populations les plus vulnérables.
Après sa création, M. Gueu Sylvanus et ses braves collaborateurs implantés un peu dans différents pays tels que le Burkina Faso, le Mali, le Cameroun, le Tchad…
Se sont illustrés à nos micros en nous donnant les objectifs phares de la structure en général :
« Les objectifs de notre ONG ne sont rien d’autre que de lutter contre les conflits intercommunautaires, de mener la lutte contre la misère à grande échelle, la lutte contre le travail des mineurs, dont les travaux champêtres, la lutte contre les violences basées sur le genre… » a-t-il souligné.
C’est à travers ces grands chantiers que la structure s’engage à apporter, dans un premier plan, un soutien fraternel aux victimes et, en second lieu, faire valoir le respect des droits humains de tout genre.
Comme il sait bien le faire, M. Gueu Sylvanus PCA de l’ONG un monde sans violence, dans ses analyses, nous donne en quelques axes les actions et activités que cette structure a été initié.
« Les activités menées par notre ONG depuis qu’elle a été livrée au grand public sont énormes. Notamment, nous avons fait plus de dons en faveur des prisons civile dans plusieurs localités et plus particulièrement à MAN, l’ organisation dans sa mission a plusieurs fois assisté les femmes battues dans les foyers en interpellant les autorités centrales à prendre des mesures pour établir un climat de paix, la lutte contre le travail forcé des mineurs et des campagnes de sensibilisation contre les inégalités… »a-t-il terminé.
Pour la gestion des faits, l’organisation essaie dans un premier temps de gérer les faits à amiable entre les différents partenaires. C’est lorsque la situation devient extrêmement difficile, hors de portée de la structure, que L’ONG se rend dans l’obligation d’alerter les autres coutumières, militaires et préfectorales pour une gestion selon les lois.
En ce qui concerne le volet éducatif, M. GUEU Sylvanus lance un message au gouvernement ivoirien à se pencher sur ce fait qui endeuille des familles. Dans ce domaine, l’on remarque que plusieurs enseignantes ont subi des injustices venant des communautés villageoises.
L’ONG demande aux autorités compétentes de prendre des mesures phares pour garantir la sécurité des personnes qui laissent leurs familles loin pour se rendre dans ces localités rien que pour apporter un mieux-être.
L’ONG, dans ses interventions, sensibilise les communautés à prendre soin des enseignants qui viennent, qu’ils ne sont pas leurs ennemis.
Au niveau des coups d’État, que ce soit militaires ou constitutionnels, cette organisation non gouvernementale conseille les chefs d’État au respect des lignes constitutionnelles. Afin d’éviter des crises qui freinent l’accroissement économique africain.
AKEA